Text: 2 Bal 2 Neg. La Main Tendue.
He j'ai bac plus deux, mais aujourd'hui, dis moi, ca sauve de quoi ?
Je vois des gars dans la rue, je me dis que ca poirrais etre moi,
Rien de bien, seul perdu dans un coin,
Regard brise, en quete de l'aide d'un de mes prochains.
Vois la vie de rue, c'est pisses de chiens, c'est detritus,
La paume des mains tendue, tu peux pleurer, personne n'y croit plus.
Sans domicile, les residents du monde exterieur
Profitent de la chaleur d'un quai de metro pour de meilleures heures.
Non c'est pas de ca que je veux comme destin,
Ce que je veux pour demain,
C'est plein de choses bien pour moi et les miens.
Je suis temoin du mal, j'ai peur de voir ce que sera demain,
Pour moi, les miens et cuez qui vivent en tendant la main,
Victime du regard des autres, juges en une seconde
De part l'apparence, de part l'odeur nauseabonde.
A grande vitesse, c'est ici que ta vie peut atterir.
Je dedie ce texte a ceux qui le vivent et souffrent le martyr.
Refrain
A ceux qui vivent la main tendue, ce texte je dedie.
A ceux qui vivent le stress, ce texte je dedie.
Temoin du mal, je vois ceux qui n'ont pas droit a la vie,
Ceux qui meurent sous nos yeux, qui s'eteignent et qu'on oublie.
Dehors le froid, c'est chaud, pas de couverture, ni matelas,
Les keufs tournent et peu de plans quand l'hiver s'abat sur toi.
Un reve de lit, reve de vie qui reve de lui,
Faire une treve aussi ainsi pour contrer cette maladie.
La bouf c'est dead, en plus, pas de tune dans ses poches,
Son ventre vide, quand des gens bouffent,
C'est vrai que c'est moche mais il s'accroche.
Il oublie le futur, mais pense au temps qui passe,
Penser au passe, a present, c'est la que son sang se glace.
Manger, c'est clair, pour lui, devient une necessite,
Car le mois s'annonce comme un ramadan, impose mais non force.
En vrai, la volonte de s'en sortir le maintient au contact,
Evite le cons sans tact ou les regards qui se braquent.
Et comme tout le monde, c'est fini, son impact, l'infini,
La poisse a signe un pacte avec le diable, sans demander son avis.
Seul et mal entoure de tours, eh !
De gens remplis de conseils, et, parfois mal renseignes.
La nuit, c'est le jour, la jour, la nuit, c'est du pareil au meme,
Le vrai soleil, c'est sa survie avant que les lumieres s'eteignent.
Des amis, il en a de tou-par, mais sont remplis de remparts,
A part ceux qui ont vecu la meme histoire, meme si c'est rare.
Genre, imagine-toi a sa place, confronte a tout, la vingtaine passee
Et je suis sur que c'est arrive pres de chez vous.
Une fin sans fin, en in de compte plus d'histoire sans fin,
Pour tous ceux qui sont dans la rue, baisser les bras n'apporte rien.
Refrain
Je vois des gars dans la rue, je me dis que ca poirrais etre moi,
Rien de bien, seul perdu dans un coin,
Regard brise, en quete de l'aide d'un de mes prochains.
Vois la vie de rue, c'est pisses de chiens, c'est detritus,
La paume des mains tendue, tu peux pleurer, personne n'y croit plus.
Sans domicile, les residents du monde exterieur
Profitent de la chaleur d'un quai de metro pour de meilleures heures.
Non c'est pas de ca que je veux comme destin,
Ce que je veux pour demain,
C'est plein de choses bien pour moi et les miens.
Je suis temoin du mal, j'ai peur de voir ce que sera demain,
Pour moi, les miens et cuez qui vivent en tendant la main,
Victime du regard des autres, juges en une seconde
De part l'apparence, de part l'odeur nauseabonde.
A grande vitesse, c'est ici que ta vie peut atterir.
Je dedie ce texte a ceux qui le vivent et souffrent le martyr.
Refrain
A ceux qui vivent la main tendue, ce texte je dedie.
A ceux qui vivent le stress, ce texte je dedie.
Temoin du mal, je vois ceux qui n'ont pas droit a la vie,
Ceux qui meurent sous nos yeux, qui s'eteignent et qu'on oublie.
Dehors le froid, c'est chaud, pas de couverture, ni matelas,
Les keufs tournent et peu de plans quand l'hiver s'abat sur toi.
Un reve de lit, reve de vie qui reve de lui,
Faire une treve aussi ainsi pour contrer cette maladie.
La bouf c'est dead, en plus, pas de tune dans ses poches,
Son ventre vide, quand des gens bouffent,
C'est vrai que c'est moche mais il s'accroche.
Il oublie le futur, mais pense au temps qui passe,
Penser au passe, a present, c'est la que son sang se glace.
Manger, c'est clair, pour lui, devient une necessite,
Car le mois s'annonce comme un ramadan, impose mais non force.
En vrai, la volonte de s'en sortir le maintient au contact,
Evite le cons sans tact ou les regards qui se braquent.
Et comme tout le monde, c'est fini, son impact, l'infini,
La poisse a signe un pacte avec le diable, sans demander son avis.
Seul et mal entoure de tours, eh !
De gens remplis de conseils, et, parfois mal renseignes.
La nuit, c'est le jour, la jour, la nuit, c'est du pareil au meme,
Le vrai soleil, c'est sa survie avant que les lumieres s'eteignent.
Des amis, il en a de tou-par, mais sont remplis de remparts,
A part ceux qui ont vecu la meme histoire, meme si c'est rare.
Genre, imagine-toi a sa place, confronte a tout, la vingtaine passee
Et je suis sur que c'est arrive pres de chez vous.
Une fin sans fin, en in de compte plus d'histoire sans fin,
Pour tous ceux qui sont dans la rue, baisser les bras n'apporte rien.
Refrain
2 Bal 2 Neg