Text: Francis Cabrel. La Belle Debbie.
La belle Debbie debout d'un bond
Au tout debut me bouda
Puis elle trouva de bon ton
Que je lui dise vous comme a une diva
J'otais ses beaux boutons d'habits
Je mis un vieux CD d'ABBA
Alors, elle s'enhardit
Et Dieu soit loue s'amadoua
Elle voulu deux doigts de Bourbon
"Merci ca finit mal quand je bois"
Je me suis mis a faire le gibbon
Elle se tordait comme le boa
Je lui recitais ma lecon
Doux comme un ourson venu pour ca
Puis-je votre peau de bonbon
L'effleurer comme une tumba ?
Et j'ajoute pour etre tout a fait juste
Ces miroirs ou elle se projette
Ces rires auxquels elle est sujette
Et ses jolies mains qui s'agitent
Oh j'ajoute...
Je lui recitais du Rimbaud
Elle disait peut-on tomber plus bas
Elle borda ses yeux de charbon
Pour me tendre un baton de Cuba
Les liqueurs, nous les avons bues
Quand il n'est plus reste de tabac
Elle m'avoua, je revis
Desirez-vous que l'on se revoie ?
Et j'ajoute pour etre tout a fait juste
Ces miroirs ou elle se projette
Ces rires auxquels elle est sujette
Et ses jolies mains qui s'agitent
Et j'ajoute pour etre tout a fait juste
Ces moments sales ou elle me laissa
Ces secrets qu'elle me consacra
Ces formes ou je m'etais ancre
Ces cris...
Quand son mari entra
Au tout debut me bouda
Puis elle trouva de bon ton
Que je lui dise vous comme a une diva
J'otais ses beaux boutons d'habits
Je mis un vieux CD d'ABBA
Alors, elle s'enhardit
Et Dieu soit loue s'amadoua
Elle voulu deux doigts de Bourbon
"Merci ca finit mal quand je bois"
Je me suis mis a faire le gibbon
Elle se tordait comme le boa
Je lui recitais ma lecon
Doux comme un ourson venu pour ca
Puis-je votre peau de bonbon
L'effleurer comme une tumba ?
Et j'ajoute pour etre tout a fait juste
Ces miroirs ou elle se projette
Ces rires auxquels elle est sujette
Et ses jolies mains qui s'agitent
Oh j'ajoute...
Je lui recitais du Rimbaud
Elle disait peut-on tomber plus bas
Elle borda ses yeux de charbon
Pour me tendre un baton de Cuba
Les liqueurs, nous les avons bues
Quand il n'est plus reste de tabac
Elle m'avoua, je revis
Desirez-vous que l'on se revoie ?
Et j'ajoute pour etre tout a fait juste
Ces miroirs ou elle se projette
Ces rires auxquels elle est sujette
Et ses jolies mains qui s'agitent
Et j'ajoute pour etre tout a fait juste
Ces moments sales ou elle me laissa
Ces secrets qu'elle me consacra
Ces formes ou je m'etais ancre
Ces cris...
Quand son mari entra
Francis Cabrel
Francis Cabrel