Text: Gérard Berliner. Voleur De Mamans.
J'ai vu plus d'une dizaine de peres
Et j'ai eu froid dans tellement de pensions
Ma mere preferait l'amour a son metier de mere
Et le sommeil tombait sans baiser sur le front
Je suis un voleur de mamans
Je vole tout ce qui m'a manque
Entre 8 ans, 10 ans, 12 ans cette infinie douceur
Me creve, me creve encore, le c?ur
Jamais j'ai eu de vrai dimanche
Tout seul, elle me laissait tout seul
L'ete elle m'exilait sur une plage de la Manche
Je voulais me noyer pour qu'elle soit en deuil
Je suis un voleur de mamans
Je vole tout ce qui m'a manque
Entre 8 ans, 10 ans, 12 ans cette infinie douceur
Me creve, me creve encore, le c?ur
J'attendais tous les retours des trains
J'inventais plusieurs contes italiens
Mais jamais quand elle ouvrait ses mains
C'etait du vide et de la poussiere d'etoile
La ville, c'est le bal, c'est la neige
Et puis y a ce grand jour ou il nous faut partir
Mais je rode dans les gares, aux jardins, aux maneges
Pour en trouver une autre et pour enfin guerir
Je suis un voleur de mamans
Je vole tout ce qui m'a manque
Entre 8 ans, 10 ans, 12 ans cette infinie douceur
Me creve, me creve encore, le c?ur
Et j'ai eu froid dans tellement de pensions
Ma mere preferait l'amour a son metier de mere
Et le sommeil tombait sans baiser sur le front
Je suis un voleur de mamans
Je vole tout ce qui m'a manque
Entre 8 ans, 10 ans, 12 ans cette infinie douceur
Me creve, me creve encore, le c?ur
Jamais j'ai eu de vrai dimanche
Tout seul, elle me laissait tout seul
L'ete elle m'exilait sur une plage de la Manche
Je voulais me noyer pour qu'elle soit en deuil
Je suis un voleur de mamans
Je vole tout ce qui m'a manque
Entre 8 ans, 10 ans, 12 ans cette infinie douceur
Me creve, me creve encore, le c?ur
J'attendais tous les retours des trains
J'inventais plusieurs contes italiens
Mais jamais quand elle ouvrait ses mains
C'etait du vide et de la poussiere d'etoile
La ville, c'est le bal, c'est la neige
Et puis y a ce grand jour ou il nous faut partir
Mais je rode dans les gares, aux jardins, aux maneges
Pour en trouver une autre et pour enfin guerir
Je suis un voleur de mamans
Je vole tout ce qui m'a manque
Entre 8 ans, 10 ans, 12 ans cette infinie douceur
Me creve, me creve encore, le c?ur