Text: Georges Moustaki. Voyage.
La fille pres de qui je dors,
M'enroule dans ses cheveux d'or
Comme une araignee dans sa toile.
Moi, j'en appelle a mon etoile
Qui me fera trouver le nord...
Les bateaux reposent encor
Dans les eaux profonds du port,
epuises par leurs longs voyages.
Moi, j'en appelle au vent du large
Qui me fera quitter le bord.
La nuit que dechire l'aurore
N'est plus que l'envers du decor
De tous mes reves perissables.
J'en appelle au desert de sable
Qui me fera trouver de l'or.
Je m'en irai l'ame et le corps
Guides par un commun accord
De tous mes sens insatiables.
J'en appelle a Dieu et a Diable
Qui me feront trouver la mort.
La fille pres de qui je dors
M'enroule dans ses cheveux d'or
Comme une araignee dans sa toile.
M'enroule dans ses cheveux d'or
Comme une araignee dans sa toile.
Moi, j'en appelle a mon etoile
Qui me fera trouver le nord...
Les bateaux reposent encor
Dans les eaux profonds du port,
epuises par leurs longs voyages.
Moi, j'en appelle au vent du large
Qui me fera quitter le bord.
La nuit que dechire l'aurore
N'est plus que l'envers du decor
De tous mes reves perissables.
J'en appelle au desert de sable
Qui me fera trouver de l'or.
Je m'en irai l'ame et le corps
Guides par un commun accord
De tous mes sens insatiables.
J'en appelle a Dieu et a Diable
Qui me feront trouver la mort.
La fille pres de qui je dors
M'enroule dans ses cheveux d'or
Comme une araignee dans sa toile.