Text: Edith Piaf. Le Diable De La Bastille.
:
C'est incroyable mais vrai,
Invraisemblable mais vrai.
C'est le diable qui dansait
Au quatorze juillet,
Place de la Bastille.
C'est incroyable mais vrai,
Invraisemblable mais vrai.
Il savait bien, le malin,
Qu'il tenait dans ses mains
Le destin d'une fille
Car il est joli garcon,
Il connait bien la chanson.
A la flamme des lampions,
Au son d' l'accordeon,
Il est meconnaissable
Et la fille n'a rien vu.
Elle ne l'a pas reconnu.
Tourbillonnant dans ses bras,
Elle trouvait, ce soir-la,
Que c'etait formidable.
A dix-huit ans, on a le droit
De se tromper a ce point-la
Tant le demon a l'air si bon.
On peut l'aimer sans se damner.
C'est incroyable mais vrai,
Invraisemblable mais vrai.
C'est le diable qui dansait
Au quatorze juillet,
Place de la Bastille.
C'est incroyable mais vrai,
Invraisemblable mais vrai.
Il savait bien, le malin,
Qu'il tenait dans ses mains
Le destin d'une fille.
Vraiment, il se regalait,
Il rigolait, rigolait.
Puisque la vie etait belle,
Elle trouvait naturel
Qu'il ait envie de rire.
Elle s'est abandonnee.
C'etait vraiment bon marche,
C'etait vraiment trop facile,
Une ame aussi docile.
'y avait pas de quoi rire.
C'est incroyable mais vrai.
C'est le diable qui dansait,
C'est le diable qui riait,
C'est le diable que j'aimais.
Le diable que j'aimais...
Le diable que j'aimais...
Le diable que j'aimais...
C'est incroyable mais vrai,
Invraisemblable mais vrai.
C'est le diable qui dansait
Au quatorze juillet,
Place de la Bastille.
C'est incroyable mais vrai,
Invraisemblable mais vrai.
Il savait bien, le malin,
Qu'il tenait dans ses mains
Le destin d'une fille
Car il est joli garcon,
Il connait bien la chanson.
A la flamme des lampions,
Au son d' l'accordeon,
Il est meconnaissable
Et la fille n'a rien vu.
Elle ne l'a pas reconnu.
Tourbillonnant dans ses bras,
Elle trouvait, ce soir-la,
Que c'etait formidable.
A dix-huit ans, on a le droit
De se tromper a ce point-la
Tant le demon a l'air si bon.
On peut l'aimer sans se damner.
C'est incroyable mais vrai,
Invraisemblable mais vrai.
C'est le diable qui dansait
Au quatorze juillet,
Place de la Bastille.
C'est incroyable mais vrai,
Invraisemblable mais vrai.
Il savait bien, le malin,
Qu'il tenait dans ses mains
Le destin d'une fille.
Vraiment, il se regalait,
Il rigolait, rigolait.
Puisque la vie etait belle,
Elle trouvait naturel
Qu'il ait envie de rire.
Elle s'est abandonnee.
C'etait vraiment bon marche,
C'etait vraiment trop facile,
Une ame aussi docile.
'y avait pas de quoi rire.
C'est incroyable mais vrai.
C'est le diable qui dansait,
C'est le diable qui riait,
C'est le diable que j'aimais.
Le diable que j'aimais...
Le diable que j'aimais...
Le diable que j'aimais...
Piaf, Edith
Alți interpreți