Text: Olivia Ruiz. De L'air.
Petite fille dans la tempete
Trop grande avant avoir seize ans
Lune a dessine dans sa tete
Un grand fil sur le firmament
Petit ilot de solitude
Ivre au milieu des eaux salees
Des oceans d'incertitudes
Qu'elle est trop seule pour dissiper
Elle songe a ses envies d'envers
A ses endroits mille pieds sous terre
Ou elle pourrait sourire sans soupirs
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air....
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air....
Petite fleur cherche printemps
Voudrait ouvrir mais a Fleury
On ouvre que de temps en temps
et on referme aussitot dit
Elle songe a ses envies d'envers
A ses endroits mille pieds sous terre
Ou elle pourrait sourire sans soupirs
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air....
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air....
Petit caillou dans les embruns
D'une plage ou c'est echoue
Le grand cargo noir du destin
Lune est a moitie, a moitie chaviree
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air....
De l'air de l'eau du ciel sur sa peau
De l'air des rires du bonheur qui transpire
De l'air des bras ouverts et qu'on ne referme pas
De l'air des mots qui soufflent les sanglots
de l'air
Trop grande avant avoir seize ans
Lune a dessine dans sa tete
Un grand fil sur le firmament
Petit ilot de solitude
Ivre au milieu des eaux salees
Des oceans d'incertitudes
Qu'elle est trop seule pour dissiper
Elle songe a ses envies d'envers
A ses endroits mille pieds sous terre
Ou elle pourrait sourire sans soupirs
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air....
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air....
Petite fleur cherche printemps
Voudrait ouvrir mais a Fleury
On ouvre que de temps en temps
et on referme aussitot dit
Elle songe a ses envies d'envers
A ses endroits mille pieds sous terre
Ou elle pourrait sourire sans soupirs
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air....
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air....
Petit caillou dans les embruns
D'une plage ou c'est echoue
Le grand cargo noir du destin
Lune est a moitie, a moitie chaviree
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air....
De l'air de l'eau du ciel sur sa peau
De l'air des rires du bonheur qui transpire
De l'air des bras ouverts et qu'on ne referme pas
De l'air des mots qui soufflent les sanglots
de l'air
Ruiz, Olivia
Ruiz, Olivia