Text: Yves Jamait. Passe.
Il se peut bien que tu regrettes l'odeur de ce mauvais cafe
Qui venait souvent rechauffer nos coeurs de lendemain de fete
Il se peut bien que tu regrettes nos reves immobilises
Nos velleites enfumees par de trop bonnes cigarettes.
Il se peut bien que tu regrettes nos nuits blanches exaltees
L'encephale decomposee comme du pastis qui paillette
Passe le temps c'est sur,
Si rien ne dure,
Il reste pourtant les souvenirs...
Il se peut bien que tu regrettes cette soif de liberte
Que l'on ne cessait d'eponger sous des cascades de canettes
Il se peut bien que tu regrettes nos illusions enracinees
Comme des lames alors plantees
Au fond de nos coeurs de poete.
Il se peut bien que tu regrettes nos revolutions avortees
Nos gueules de bois fracassees
Par de trop precoces retraites
Passe le temps c'est sur,
Si rien ne dure,
Il reste pourtant les souvenirs...
Ils se peut bien que tu regrettes
Mais tu ne t'es pas retourne et l'horizon vient de changer
Que tu aies loupe ca, c'est bete.
La ville a sortit sa palette;
Le ciel vient a peine de bruler.
Ses braises se sont eparpillees
En milles etoiles dans nos tetes.
Passe le temps c'est sur,
Si rien ne dure,
Il reste pourtant les souvenirs...
Qui venait souvent rechauffer nos coeurs de lendemain de fete
Il se peut bien que tu regrettes nos reves immobilises
Nos velleites enfumees par de trop bonnes cigarettes.
Il se peut bien que tu regrettes nos nuits blanches exaltees
L'encephale decomposee comme du pastis qui paillette
Passe le temps c'est sur,
Si rien ne dure,
Il reste pourtant les souvenirs...
Il se peut bien que tu regrettes cette soif de liberte
Que l'on ne cessait d'eponger sous des cascades de canettes
Il se peut bien que tu regrettes nos illusions enracinees
Comme des lames alors plantees
Au fond de nos coeurs de poete.
Il se peut bien que tu regrettes nos revolutions avortees
Nos gueules de bois fracassees
Par de trop precoces retraites
Passe le temps c'est sur,
Si rien ne dure,
Il reste pourtant les souvenirs...
Ils se peut bien que tu regrettes
Mais tu ne t'es pas retourne et l'horizon vient de changer
Que tu aies loupe ca, c'est bete.
La ville a sortit sa palette;
Le ciel vient a peine de bruler.
Ses braises se sont eparpillees
En milles etoiles dans nos tetes.
Passe le temps c'est sur,
Si rien ne dure,
Il reste pourtant les souvenirs...
Yves Jamait
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