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Barbara Göttingen Cd N 4

Il avait presque vingt ans. Fallait, fallait voir Sa gueule : c'etait bouleversant. Fallait voir pour croire, A l'abri du grand soleil. Je l'avais pas

mieux et le pire Mais je ferais n'importe quoi. Pourtant le jour et la nuit meme, Quand j'ai le mal d'amour pour toi, La, simplement dire "Je t'aime." Je n'ose pas, je n

c?ur chagrin Un matin comme celui-la Il y a juste un an deja La ville avait ce teint blafard Lorsque je sortis de la gare Nantes m'etait encore inconnue Je n

t'attends. Tu me tendras les mains, je n'aurai qu'a les prendre Et consoler les voix qui pleurent dans ta voix. Je t'apprivoiserai, les lumieres eteintes. Tu n

imagine et je devine Que pour moi, mon amour, tu t'inquietes. Je sais bien que, parfois, tu t'embetes Avec ta famille, en Espagne. Il n'y a pas, il n

Jamais la fin d'ete n'avait paru si belle. Les vignes de l'annee auront de beaux raisins. On voit se rassembler, au loin les hirondelles Mais il faut

Bien sur, ce n'est pas la Seine, Ce n'est pas le bois de Vincennes, Mais c'est bien joli tout de meme, A Gottingen, a Gottingen. Pas de quais et pas

cantate Que nous jouions autrefois Seule, je la joue, maladroite Si, mi, la, re, sol, do, fa Cette petite cantate Fa, sol, do, fa N'etait pas si maladroite

ai calme ma violence, Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous, Les temps d'hiver et d'automne, De nuit, de jour, et personne, Vous n'etiez jamais